Technocats

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  • Technocats
    Joueur/MJ
    Journal de bord Kate

    Après notre altercation contre les deux manticores, nous sommes partis en direction de la croisée des chemins afin de trouver de la mandragove qui ne pousse que sous les arbres de pendus. Il ne nous fallut pas beaucoup de temps pour trouver la croisée des chemins et l’arbre en question. Ainsi que l’embuscade évidente qui nous attendait.

    Devant tous ces hommes équipés avec des armes de fortune et qui savaient clairement pas se battre de par leur posture bancale, nous ne sortirent même pas les armes contre eux. Après tout ce n’était que des paysans, ils ne méritaient clairement pas de mourir alors qu’ils tentaient juste de survivre comme ils pouvaient. Nous préférâmes employer le dialogue afin de les dissuader de se lancer dans un combat perdu d’avance contre nous en leur présentant les restes de nos adversaires, ce qui finirent par les dissuader complètement, avant de leur demander des explications sur la lettre trouvé dans le repaire des manticores. Celle ci stipulait que leur groupe soutenait le Ponant, notre grand ennemi, en échange de contreparties que j’imagine être de l’or et des biens. Mais visiblement cela ne parlait pas du tout à la chef des bandits qui tomba des nues devant de tels accords. Elle nous raconta alors que leur chef, un certain Blazac, avait tout manigancé et que eux, ils n’étaient pas au courant du tout, juste qu’ils avaient vu des messagers aller et venir sans en connaître les propos tenus entre les deux hommes. Nous voulûmes bien les croire et nous proposâmes de les aider à destituer leur chef. Mais pour cela il nous fallait le soutient du camps entier et afin de l’obtenir, il nous fallait gagner du temps, temps pour que notre nouvelle alliée, Yanda, puisse convaincre discrètement le reste de la colonie.
    Nous échafaudâmes rapidement un plan pour détourner l’attention de Blazac de ce qui se jouait dans son dos et nous nous rendîmes dans les camps de réfugiés, après avoir ramassé la mandragove, je vous rassure. Je me fit passer pour un émissaire du Ponant en sortant mes meilleurs talents de comédie, mes compagnons a mes côtés comme garde du corps et en employant tout mes talents, je réussit à faire croire à ce bandit de bas étage que j’étais réellement une émissaire venue discuter invasion. Pendant ce temps Yanda réussit à convaincre tout le monde et à rassembler ses hommes devant la tente. Et une fois les troupes réunies, il était temps de livrer le traitre à la populace.

    Sans un mot, Erhendil se glissa dans le dos de Blazac, se transforma en ours et le bloqua entre ses pattes massives avant de l’emmener dehors, nous quatre à ses côtés. C’est à ce moment là que Blazac découvrit toute la supercherie et le funeste destin qui l’attendait : un jugement rapide et efficace par le groupe entier, mené d’une main de maître par notre prêtre de la justice qui rendit son office en le décapitant. Pendant ce temps là je fouilla les affaires du malfrat et en sortit des courriers, une belle épée du Ponant et de l’argent, argent que je confia à la troupe de paysans afin qu’ils puissent se reconstruire et redémarrer une vie honnête. Et à présent qu’ils étaient au courant des agissements du ponant, on leur suggéra de travailler avec l’archi druide afin de renforcer les défenses Myrlune.
    Nous repartîmes ensuite à la recherche de notre dernier ingrédient dans un coin reculé de la forêt en suivant les indications de nos nouveaux alliés : au caillou, vous vous enfoncez dans la forêt. Nous trouvâmes rapidement le caillou puis le nain nous déblaya un chemin à travers la forêt avec l’aide de l’épée du Ponant qui se trouva être terriblement efficace face à cette végétation dense et surtout à ces ronces qui tentaient de temps en temps de nous enserrer les chevilles. Bien étranges ces ronces noires d’ailleurs, elles semblent se mouvoir sur notre passage comme pour s’écarter et nous former un passage. Hum… étrange.

    Nous trouvâmes la clairière dans laquelle nous attendait un magnifique arbre luminescent entouré par une couronne de champignons. Mais à peine nous voulûmes nous emparer du dernier ingrédient qu’une mystérieuse dame émergea de l’arbre, nous l’interdisant. Il s’agissait en fait de dame Syneria, la tante d’Arthos et une amie d’enfance d’Arken. Elle nous apprîmes que le druide s’était joué de nous, nous envoyant aux quatre coins de la région pour venir en aide a la population et que son fortifiant n’existait pas. J’aurais dû m’en douter qu’il me cachait quelque chose ce vieux… je vais devoir être plus méfiante à l’avenir. Elle nous expliqua aussi la signification de ce lieu, son histoire et ce qu’il représentait à présent pour elle.

    C’était à cet endroit que vivait la famille d’Arthos, dans les quelques ruines présentes un peu plus loin. Et c’est ici que périrent une grande partie de sa famille sous le souffle du dragon. Dame Syneria a par la suite érigée cet arbre de deuil pour se remémorer ce funeste destin. Et depuis la mort de la reine, il était envahit par les ronces. J’émis a tout hasard l’hypothèse que ces ronces étaient une émanation de la volonté de la reine après sa mort pour veiller et protéger ce lieu devenu si sacré pour elle, ce qui convaincu la grande magicienne.
    Et après tous ces beaux discours, nous finîmes par revenir à Myrlune. Nous touchâmes notre prime pour les manticores avant de festoyer pour célébrer les retrouvailles entre Arthos et sa tante. Cela me fit plaisir de voir notre prince avec des couleurs et un sourire orner son visage, ça lui donnait un côté bien plus touchant, presque enfantin, que cet air triste et maussade qu’il arborait depuis quelques jours. J’avais l’impression que pendant un instant, il avait retrouvé un peu de bonheur.

    Le reste de notre soirée se passa comme à notre habitude : le nain et la guerrière firent un concours de boissons, le druide et moi sortîmes dehors faire un tour loin de toute cette agitation qui avait tendance à m’étouffer. Nous parlâmes du symbole gravé sur ma bague et je pus en apprendre un peu plus sur la destinée à laquelle j’étais vouée, bien que le bougre resta très évasif. Pas toujours très loquace le druide lorsqu’il s’agit de confier des infos importantes. Heureusement qu’après je pus en discuter avec dame Syneria qui m’apprît bien plus de chose. Quoi que, je sais pas si au final je suis heureuse de le savoir car visiblement notre destinée était écrite d’avance : ma rencontre avec Frédéric, avec compagnons de voyage, avec Arthos, tout… moi qui ai toujours aimé a penser que j’ai mon destin entre mes mains, visiblement des choses bien plus puissantes sont à l’œuvre et ça ne plais guère. J’ai toujours voulu vivre libre, et à présent je me sens comme prisonnière de ce fardeau qui pèse sur mes épaules.
    C’est donc songeuse et inquiète de la suite que j’écris ses lignes ce soir alors que mes camarades dorment profondément (surtout les deux zouaves qui ont finit dans le même lit, allez savoir ce qu’ils y ont fait). J’aimerais tout de même savoir ce que l’avenir me réserve. Suis je vraiment destinée a servir ce prince ? Ou suis encore maître de mes décisions et si demain je décide de partir de mon côté, rien ne me retiendras ? Je ne saurais le dire. Mais à présent je suis bien trop impliqué dans tout ceci et je ne pourrais malgré tout pas quitter mes amis comme cela, du moins tant qu’ils ont besoin de moi. Et puis j’avoue que ma curiosité me pousse aussi à continuer : je veux savoir ce qui va se passer lors de cette épreuve initiatique et comment notre prince va s’en sortir face à l’attaque du Ponant qui maintenant était imminente. Pourvus que le destin nous soit favorable, car même si je me fiche de mourir, ma vie ayant que peu d’importance, c’est l’avenir de mon foyer et de mes proches qui sont en jeu. Et même si la vie ne m’a jamais fait de cadeau, personne ne mérite de mourir dans une guerre atroce, personne. Sauf mon frère, mais lui c’est déjà fait.

    Technocats
    Joueur/MJ
    Kate Journal de bord

    Il s’est passé tellement de choses en si peu de temps que je ne sais pas par quoi commencer. J’ai l’impression que tout mon monde s’est écroulé en une soirée que je pers pied peu à peu. Peut être qu’écrire ces lignes me permettra d’y voir plus clair et de pouvoir me reconcentrer sur ma mission, qui sait ?

    Déjà, notre cher chevalier est le prince Tomas de ce pays et sa très chère mère pour qui nous avons risqué notre vie jusqu’ici, récupéré cette fichue coupe et j’en passe, a trépassé, obligeant son fils à passer une épreuve afin de pouvoir reprendre les rênes de ce pays. Elle ne pouvait pas attendre quelques jours, le temps qu’on arrive ? Visiblement non… Au moins maintenant, je connais le secret que me cachait Arthos depuis tout ce temps.
    Mais le voir dans cet état, aussi faible après sa résurrection et aussi abattu par la mort de sa mère me fend le cœur. Après tout, c’est un homme bien et qui ne mérite pas un si lourd destin. Je dois vous avouez que je me fou un peu de ce royaume, de qui le dirige et de sa politique, mais par respect pour cet homme qui s’est toujours montré gentil envers nous, et parce que je sais ce que c’est que de tout perdre et de devoir se relever, je l’aiderais au mieux dans sa lourde tâche, jusqu’à ce que nos chemins se séparent d’une manière ou d’une autre.

    Mais à vrai dire ce n’est pas ça qui me pèse le plus actuellement et je ne sais pas comment aborder la chose sans craquer à nouveau. Enfin, il n’y a pas trente-six façons de le dire.
    J’ai dû tuer Tyranne après tout le mal qu’il a fait à Wisk. Et d’un côté cela me peine que mon frère soit tombé aussi bas après toute ses années au point d’en arriver là, mais en même temps cela ne m’étonne pas tant que cela. Il a toujours été le plus ambitieux et le moins scrupuleux de notre bande, répétant sans cesse que ce nous faisions c’était pour le faire payer à cette société de nous avoir abandonné, et que si nous voulions survivre, nous devions prendre de force ce qui nous revenait. J’aimais et j’admirais Tyranne à l’époque. Aujourd’hui, je le hais et il n’est plus qu’un souvenir douloureux dans ma mémoire.
    Surtout que mes frères gobelins m’ont tout raconté sur ce qui c’était passé après qu’ils m’aient abandonné. Tyranne les avaient forcés à m’oublier pour en faire ses larbins, et même si encore aujourd’hui je leur en veux de ne jamais être revenu me chercher, je peux comprendre que ce fut aussi dur et terrible pour eux. Peut être qu’avec le temps, je finirais par oublier et pardonner, mais pour le moment, je n’en ai pas encore le cœur… Tout ça pour dire que si j’ai perdu ma famille ce jour-là, c’est de sa faute et que visiblement je n’étais qu’un objet comme un autre à ses yeux et que tous ses beaux discours, il peut se les mettre la ou je le pense.
    Et le pire je pense c’est d’apprendre qu’il fut l’assassin de mon mentor, tout cela parce qu’il avait libéré mes frères gobelins de son emprise en les confiant à Rictavio par la suite, puis en concluant ma propre enquête à propos de cet artefact volé qui était en fin de compte son œuvre, ce qui l’a conduit à devenir cette horreur – et ne me rappelez plus jamais que j’ai finit comme lui l’espace d’une nuit, c’est aussi un souvenir que je tiens à oublier. N’empêche, comment a-t-il osé faire une chose pareille ? Quand je l’ai appris, j’étais si en colère que j’étais à deux doigts de demander à Arken de le ressusciter pour lui demander des explications avant de le tuer à nouveau en le réduisant en charpie. Cet homme m’a tout prit, mes frères, mon mentor, tout ce qui comptait à mes yeux, et jamais je ne pourrais le lui pardonner. J’espère qu’il pourrit bien en enfer et qu’il regrette chacun de ses actes.

    Mis à part toutes ces révélations, je dois avouer que cette journée fut ponctuée d’autres surprises bien plus agréables, à commencer par cette séance aux bains avec Aegiess. J’adore aller aux bains, on y allait toujours avec Frederic après une affaire résolue, et j’avoue qu’après avoir cavalé dans les égouts pendant toute la nuit, me laver m’a fait beaucoup de bien. Mais j’ai surtout pus enfin avoir une conversation avec notre chère guerrière qui fut fort intéressante. Je sens qu’elle ne me dit pas tout à propos d’elle et qu’elle cache encore beaucoup de choses. Mais plus je l’écoute, et plus j’ai l’impression qu’elle aussi n’a pas eu la vie qu’elle méritait, et surtout qu’elle possède une âme bien plus noble qu’elle laisse paraitre. En tout cas, après toutes les épreuves qu’on a traversées ensemble, je lui fais confiance, et j’espère que c’est réciproque. Elle est pour moi une amie et pourra compter sur moi si elle a un jour besoin de mon aide, quelle qu’elle soit.
    J’ai aussi reçu dans la journée de magnifiques présents, de la part de Fréderic comme héritage, mais aussi de la part de Rictavio, mon cher inventeur farfelu. Autant le premier, je ne suis pas surprise, mais le second… est-ce en remercîment de services rendus auprès de Frédéric ? Je ne saurais dire, il faudra que je lui pose la question lorsque ma route croisera de nouveau la sienne. Dans tous les cas, je ne remercierais jamais assez ces deux hommes pour leur générosité et leur bienveillance envers moi, et j’essayerai de faire bon usage de leurs cadeaux.

    Et c’est ainsi que nous avions repris la route en direction du Monastère de Valarion pour aider Arthos à passer ses épreuves afin de devenir roi et reprendre la tête de ce pays, et il ne valait mieux pas trop trainer : un royaume sans chef est un royaume faible aux yeux de nos voisins.
    Après une nuit passée dans les bois ou nous nous sommes faits attaqué par une espèce d’arbuste vivant que notre druide à pulvérisé sur place en un instant grâce à sa nouvelle coiffe magique sortie d’on ne sait où (d’ailleurs faudrait que le nain me dise ou il a eu son nouveau marteau…), nous avons finit par atteindre la ville de Myrlune. C’est une petite ville tout à fait charmante construite près d’un lac et protégée par un immense arbre. Je pourrais presque passer des vacances ici tellement cette ville à l’air paisible.
    Mais à peine sommes-nous arrivés devant l’auberge que notre prince s’est écroulé de son cheval, bien trop fatigué par ses quelques jours de voyage. Nous avons dû le porter à l’intérieur de l’établissement et appeler un médecin pour l’examiner. Le druide du village nous alors rassuré sur son état avant de nous missionner pour aller chercher des herbes afin de lui préparer quelques fortifiants qui permettraient de le remettre sur pied. Et voila encore les complications… Fichu coupe, elle ne pouvait pas le remettre complètement sur pied ? Ah je vous jure, on peut plus faire confiance aux vieux artéfacts de nos jours…
    Mis à part cela, la pauvre ville de Myrlune semble être le théâtre de nombreuses attaques : brigands, maladies étranges, monstres volants, garnisons qui s’évaporent… Et en plus cette menace d’une invasion venant du Ponan qui semble planer au-dessus de nos têtes… Je sens que nous commençons vraiment à vivre des jours sombres et que si l’équilibre n’est pas très vite restauré, nous allons tous y passer. Pourvus que tous nos efforts ne soient pas vains et que Arthos parvienne à survivre jusqu’au bout de ce long et étrange voyage…

    Mais en attendant, nous avions du pain sur la planche et des plantes à trouver. Aussi, dès que le soleil pointa le bout de son nez, nous sommes partis à la recherche des plantes nécessaires à la fabrication de ce fortifiant. Nous trouvâmes notre premier ingrédient dans une jolie clairière à une heure de route de Myrlune. Tout allait bien, jusqu’à ce que je tombe sur une caverne bien étrange. Cela sentait la mort… Un nid de monstre. Mais à peine l’ai-je compris que je faillis me faire planter par de grandes aiguilles. Deux grandes manticores nous attaquèrent et nous donnâmes tout ce que nous avions dans ce combat, faisant pleuvoir les coups et la magie sur ces deux magnifiques créatures volantes. Nous prîmes rapidement l’avantage, notre prêtre abattant la première d’un coup de marteau bien placé. La deuxième essaya de s’enfuir en emportant la guerrière avec elle, mais elle fut foudroyée sur place, précipitant l’intrépide barbare dans une chute vertigineuse. Par chance, notre amie s’en sortie comme elle put et réussit à s’en remettre tant bien que mal grâce aux pouvoirs d’Arken.
    Ce fut un sacré combat, il fallait bien le reconnaitre. Surtout qu’avec le temps, nous formons une belle équipe très efficace, et nous l’avions encore une fois démontré. Nous sommes à présent en possession du premier ingrédient, il nous faut en trouver encore deux autres. Et pour l’instant, notre choix est porté sur un arbre de pendus sous lequel vivrait non seulement notre précieuse mandragore, mais aussi des brigands qui semblent terroriser la région, contraints de vivre ainsi à cause de la sécheresse qui les a privé de leurs terres. Je me demande comment va se passer notre rencontre avec ces hommes. Tout ce que j’espère, c’est que le sang ne coulera pas inutilement encore une fois. J’ai assez tué d’hommes pour remplir toute une vie et je ne tiens pas tant que cela à recommencer.

    Oh Frédéric, donnez-moi encore une fois la force de continuer à avancer et veillez sur mes amis et moi. Je ne vous décevrai pas, je vous le promets. Vous avez donnez votre vie pour me protéger, à mon tour de faire de même, après tout je vous doit bien ça

    Technocats
    Joueur/MJ
    je veut bien venir, je viend  de ferme ma partie
    • Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 6 mois par Technocats.
    Technocats
    Joueur/MJ
    Si pas de joueur declare demain a midi je l’annulerais (je le proposerais une autre fois)
    Technocats
    Joueur/MJ
    Journal de Ehrendil

    Après avoir laissé le chevalier Arthos à l’auberge aux bons soins d’Isidore
    Aegiess et moi même partons vers l’herboristerie de Madame Circée et nos amis
    Kate et Arkën au bazar de Balthazar pour faire examiner les indices laissés
    par les attaquants.

    La boutique est un ravissement pour un amateur de plantes et potions diverses,
    Madame Circée et d’un accueil parfait, seulement perturbé par les cris de 2 chiens
    se disputant un morceau d’étoffe tout baveux.

    Nous apprenons que la flèche est enduite d’un puissant somnifère mélangé à du fiel de dragon
    et que le manteau a été teinté récemment avec une substance trouvable seulement au quartier des
    tanneurs. Ce qui est bizarre c’est que ce quartier est actuellement fermé à cause du manque d’eau.

    Pendant ma discussion avec madame Circée 1 de ses 2 employés gobelins parle à Aegiss qui m’apprendra
    plus tard que ces 2 personnages connaissent bien Kate et souhaite la rencontrer.

    Pris par le gout du jeu, nous décidons avec Aegiss de faire une course jusqu’au l’auberge ou nous
    avons rendez vous avec nos amis. Je lance un sort et pars comme un flèche mais je ne sais comment
    et sans magie Aegiss arrive à me dépasser. Certainement une magie inconnue.
    Nous prenons une table et parlons de nos découvertes. Kate nous monte des boussoles amoureuses qui
    ce ciblent l’une l’autre, je leur parle du quartier des tanneurs.

    Maitre Nain Arkën, fidèle à lui même de vautre dans la bière mais je remarque qu’il tient à la main
    une chope étrange qu’il a du acquérir au bazar. Après plusieurs chopes voila pas qu’il nous lâche
    un énorme rot amplifié magiquement qui retenti dans toute l’auberge et fait trembler le sol.

    Fatigué de ce spectacle je décide de sortir, et voila que je suis accosté par un homme qui me propose
    de rencontrer le roi des voleurs contre une somme de 15pa. Personnellement cela ne m’intéressè pas
    mais je sais que Kate recherche cet homme, je paie donc et rentre l’annoncer à Kate.

    Mes amis sortent et nous nous rendons au lieu indiqué. Aegiss et moi sommes en arrière mais ne pouvons
    éviter une embuscade. Nous combattons vaillamment ces hommes se transformant en rats mais kate se fait mordre.
    Nous arrivons à les vaincre mais le chef est parti pendant le combat. Kate aussi à disparue, elle reste prés
    de nous mais ne veux pas se montrer car elle est devenue un rat garou.

    Après avoir interrogé et intimidé un des bandits, nous les remettons aux gardes et partons vers le
    quartier des tanneurs et plus précisément chez pelaros le teinturier.

    Nous trouvons facilement l’entrée des égouts. Kate utilise le sac qu’elle à trouvé pour y déposer la
    boussole. Celle ci disparait et nous avons maintenant la direction à suivre.
    Tout se déroule parfaitement, nous suivons la direction de la boussole, mais à moment nous nous trouvons
    face à une énorme créature un Otyugh, qui est la pour garder les égouts mais aussi les nettoyer.
    Sans attendre le nain se précipite sur elle, ignorant nos recommandations de passer discrètement.

    Le combat est inévitable, nous prenons beaucoup de dégâts, Aegiss tombe à terre, je le réanime, nous
    arrivons à tuer cette pauvre créature et sommes tous très en colère après Arkën.

    Nous reprenons le chemin mais de l’eau arrive et les égouts se remplissent. Nous croisons des hordes de rat.

    Arrivé à la cachette du roi ds voleurs, nous remarquons Bertran attaché au fond de la pièces. Le combat
    s’engage pendant que l’eau monte. Les rats garous sont difficile à vaincre mais nous y arrivons. Le roi des
    voleurs blessé utilise la coupe de vie. Mais c’est la seconde fois, son double apparait et le combat s’engage.
    L’eau monte toujours, Aegiss tente de sauver Bertran, mais sans succès nous le faisons donc boire à la coupe.

    Le roi vaincu nous prenons la coupe de vie et partons vite chez Isidore faire boire Arthos.
    Arrivés la bas nous trouvons un corps desséché avec une peau ressemblant à du cuir et un regard reptilien.
    Nous faisons boire Arthos il reprend vie mais dés qu’il ouvre les yeux un apparition magique se dresse devant nous
    C’est le Maitre des traditions qui annonce que la reine est morte, et que le Prince Thomar qui n’est autre Arthos, doit aller au monastère de valarian
    pour passer l’épreuve des rois.

    la suite aux prochaines aventures.

    Technocats
    Joueur/MJ
    Journal de Arkën

    Après être sorti du marais boueux, nous sommes arrivés à Wyks où Bertran l’écuyer d’Arthos devait nous retrouver au relai d’Isidore, une modeste auberge.
    A peine le temps d’apprendre la disparition de Bertran qu’un manant se fait passer pour lui et simule une agression sur sa personne à l’aide d’une infortunée complice payée pour le rôle, la dénommée Zénia.
    Le filou profita alors de l’inattention générale et de la fuite de Zénia (courageusement poursuivie par nos compères elfes) pour s’emparer de la coupe qu’Arthos essayait de lui faire boire le croyant blessé à mort.
    C’est donc la vive Kate qui poursuivit le faux Bertran pendant que votre estimé compteur ne pu qu’être le témoin de la tentative d’assassinat contre Arthos d’un troisième larron armé d’une arbalète aux carreaux empoisonnés!
    Zénia, aisément rattrapé par nos amis elfes nous délivra tous les infos en sa possession.
    Kate ayant tant bien que mal récupéré le sac vide du faux Bertran (surement magique) nos indices pour cette affaire sont donc: La dague du faux assassin, le manteau et le sac du faux Bertran et le carreau empoisonné du troisième forban.
    L’affaire est complexe et le temps presse car le poison semble être proche de terrasser le noble Arthos!

    • in reply to: Korel
    Technocats
    Joueur/MJ
    Bienvenu a toi.

    moi aussi j’ai fait mes arme sur Warhammer V1 et aussi le jeu de plateau.

    hâte de te rencontrée

    Technocats
    Joueur/MJ
    Je préféré laissé ma place, se soir je vais reste avec ma fille, sinon elle va me reprocher que je m’occupe pas accès d’elle.

    Merci encore je préfère laissée ma place a des joueur tres motivé.

    Technocats
    Joueur/MJ
    je peut vous laissé la place, il n’y pas de problème, cela vous permettra de découvrir le jeu en ligne.
    Technocats
    Joueur/MJ
    ci c’est pas trop tard je bien participé.
    Technocats
    Joueur/MJ
    Bienvenue en Dordogne

    Passé nous voir pour discuter

     

     

     

    Technocats
    Joueur/MJ
    il nous reste encore 1 ou deux place.
    Technocats
    Joueur/MJ
    Journal de Aegiess

    Maître druide transformé en grenouille était parti chercher le chevalier.
    À peu près une heure plus tard, il n’était toujours pas revenu.
    Et puis il est remonté à la surface.
    Mais c’était pas lui, c’était des fémurs.
    En plus de ne pas apprécier les compliments, les sorcières n’aiment pas les grenouilles.
    Il aurait dû y aller en ours.
    Ça nage moins mais ça claque plus.

    Arkhy a dit que ça serait plus judicieux d’essayer de les rejoindre à l’arbre au milieu du marais.
    La petite voulait pas qu’on abandonne un allié.
    Moi non plus.
    Mais on avait pas le choix.
    La prochaine fois que je croisais cette sorcière, je lui ferai une petite farandole de compliments.

    On marche un peu.
    On entend des gros battements d’aile mais on ne sait pas d’où ça vient.
    Il va pleuvoir, les oiseaux volent bas.

    On arrive à un pont en bois.
    Il est peut-être fragile.
    Je teste son efficacité à me porter.
    Il faudrait que je le teste environ dix fois pour vérifier qu’Arkhy puisse passer, mais pas le temps.
    Au milieu du pont, des bubulles.
    Je sors mes lames.
    Derrière les bubulles se cache une sorcière.
    Et une farandole, une !
    Mais derrière la sorcière se cache le maître grenouille transformé en druide.
    Et pas de farandole, pas !
    Et elle nous dit que c’est pas elle la méchante mais c’est la faute de sa sœur jumelle, et qu’il faut l’arrêter.
    Je me dit que je trouverais cette excuse bien clichée de la jumelle maléfique car trop présente dans les livres si encore je lisais des livres.
    Elle nous dit qu’elle est bien sous l’arbre mort et qu’elle va bientôt se préparer un croque-monsieur.
    Que l’arbre est protégé par des harpies et qu’il y a une entrée secrète qui mène en dessous.
    Elle nous dit aussi qu’elle viendra nous aider dès qu’on sera là-bas.
    Et elle repart.
    Merci jumelle pas maléfique.

    Le soir tombe, il faut se dépêcher.
    Maître druide nous rappelle qu’il a un sort pour marcher sur l’eau.
    Je me souviens pas qui a créé ce sort, mais je me souviens qu’un jour j’ai su.
    On peut donc l’utiliser pour traverser le marais vers l’ouest et arriver directement sur l’île avec l’arbre.
    C’est donc ce qu’on fait.
    Pendant qu’on traverse je me demande si mes chaussures seront mouillées.
    Le problème c’est que je sue des pieds, donc elles sont déjà mouillées.
    Expérience infructueuse, donc.

    On arrive sur l’île à l’arbre.
    La petite cherche l’entrée grâce à ses talents de cambrioleuse.
    Elle jamais dit qu’elle était cambrioleuse mais j’ai vu qu’elle avait du poil au pied.
    CQFD.
    Maître druide nous rend silencieux pour pas qu’on se fasse repérer.
    …je corrige.
    Maître druide rend Arkhy silencieux pour pas qu’il nous fasse repérer.
    La petite trouve l’entrée et on entre tous discrètement.
    Arkhy est pas content : il voulait le loot des harpies.
    Je lui dit qu’on aura qu’à se faire les cuisses de poulet après.
    Il a l’air content.
    J’aime bien quand il est content.

    On arrive sous l’arbre.
    La sorcière est en train de cuisiner le chevalier juste avant de le cuisiner.
    Elle lui dit que la terre est malade tout en défaisant sa coquille.
    Je le savais bien que les chevaliers étaient des bivalves : ils ont toujours tendance à me dire que leur armure est pas lourde.
    La sorcière prépare son casse-croûte au bigorneau.
    La petite se prépare à fondre sur la sorcière pour lui beurrer la raie.
    Arkhy prépare beignes et diction.
    Maître druide prépare les incantations de son loup sorcier.
    Et moi… je connais déjà la musique.
    On fonce !
    La petite trouve ses failles.
    Je virevolte en halay.
    Arkhy la prend en tenaille.
    Maître druide va la transformer en feu de paille.
    On va bientôt voir ses entrailles.
    Et elle… elle tressaille.
    Aucun coup elle ne rend.
    Elle se rend.
    Sérieusement ?!
    J’étais prête à en découdre, à l’épingler de mes tissus d’acier.
    Mais non, combat terminé.
    Eh beh…
    Heureusement pour elle que le bigorneau est intact sinon je n’en aurais eu aucun.
    Et c’est là que la jumelle pas maléfique arrive et elle se rue sur sa sœur pour la taillader.
    Y en a qui savent pas lire l’ambiance : le combat c’était avant.
    Qu’à cela ne tienne, on tente avec Arkhy et le bigorneau d’empêcher la jumelle pas maléfique de le devenir.
    Sa sœur en profite donc pour la décapiter.
    Les histoires de famille…
    La jumelle , une fois étêtée, disparaît en fumée.
    Sa sœur nous explique qu’après sa seconde lampée de la coupe à panacée qu’un horrible reflet s’en était échappé et complotait son décès prématuré.
    Ce qui voulait dire que la jumelle pas maléfique était en réalité vraiment maléfique.
    Quelle surprise.

    On fouille l’antre, la coupe est bien ici.
    Mission accomplie !
    Mais elle refuse de quitter son cloître.
    Pour s’en emparer, il faudrait traverser une épreuve druidique.
    Au début j’étais contente, puis je me suis rappelé que la coupe n’était pas un ours. Déçue.
    Également nous trouvons un couteau à beurre auquel sont allergiques les loups-graous.
    Ainsi que des bracelets pour respirer sous l’eau et un joli joyau.
    Nous prenons une pause bien méritée.
    La petite s’empare du couteau à beurre.
    Arkhy prend la pierre précieuse. Cela me surprend.
    Et je me lie aux bracelets tout en me demandant s’ils ne seraient pas plus efficaces si je les attachais autour de ma bouche.
    Bigorneau récupère des morceaux d’armure et nous dit qu’il va monter la garde à côté de la coupe.
    Nous sommes fin prêt, l’épreuve peut commencer.

    On arrive dans une grotte étrange.
    Un petit poème nous avait été donné.
    Un truc comme quoi l’eau et l’air sont nos amis et qu’il faut faire gaffe aux esprits.
    J’ai pas tout enregistré. Heureusement que la petite est aussi notre greffier.
    Nous avançons.
    On croise de l’eau et des trous.
    Et deux zonzons.
    On a le moral, on les défonce.
    Puis des esprits sortent des cadavres.
    Et ils nous défoncent le moral.
    Ici, il vaut mieux ne pas tuer pour pouvoir s’en sortir.
    Le monde réel ne m’avait jamais préparé à cette logique.
    On croise un petit bassin.
    J’avance dedans pour voir ou ça nous mène.
    Un mur.
    Je l’escalade.
    Je glisse.
    Je tombe.
    Je perds trois secondes sur mes cinq minutes de branchies.
    Quel gâchis.
    On prend une autre route.
    On croise deux autres zonzons endormis mais on les ignore.
    Soixante-quinze pourcents de l’équipe s’en sort sans les réveiller.
    Et puis il y a Arkhy, ce magnifique morceau de viande qui tintinnabule.
    On traverse un cours d’eau.
    Les zonzons ne nous suivent plus.
    L’eau est bien notre ami.
    Pour l’air, pas persuadée : sinon les zonzons auraient déjà explosé, ou nous serions déjà asphyxiés.
    Pas très logique leur poème.
    On se dirige vers le bruit d’une chute d’eau.
    On croise deux goules.
    J’émets l’hypothèse que seuls les zonzons sont envahis d’esprits.
    C’est faux.
    Arkhy émet l’hypothèse que la magie ne réveillera pas les esprits.
    C’est faux.
    Nous sommes de piètres visionnaires mais de très bons scientifiques.
    Nous arrivons à la chute.
    La petite traverse la chute et nous la suivons.

    On arrive dans une grande salle avec un cadavre de druide au milieu.
    Je suppose qu’il a échoué à l’épreuve.
    Devant lui, trois calices.
    Un sur lequel est dessiné un squelette.
    Un sur lequel est dessiné une goule.
    Un sur lequel est dessiné un zonzon.
    Et dix osselets devant nous.
    Hypothèse : il faut mettre dans chaque calice le nombre de la créature représentée présent dans ce donjon.
    Nous avons croisé quatre zonzons et deux goules. Reste quatre osselets à placer.
    Question : nous avons tué deux zonzons et les deux goules. Compte-t-elles toujours ?
    Réponse : oui. Merci à leur réincarnation de s’être manifestées devant la chute d’eau.
    La petite et moi pourrions aller en éclaireur compter le nombre total de créatures.
    Arkhy préfère la sacro-sainte loi du pif.
    Il place les quatre osselets restant dans le calice squelette.
    Et ça marche.
    La coupe de vie apparaît devant lui.
    Moi je dis, cocu.
    Alors que c’est pas vrai.
    Enfin je dis ça comme ça.
    Bref.
    Maître druide prend le bâton du maître cadavre.
    Arkhy voudrait le bâton pour lui.
    Il a pas tort : il serait parfait pour griller des sangliers.
    Il se couche.
    Il a l’air déçu.
    J’aime quand il a l’air déçu, parce que je peux aller lui remonter le moral.
    Nous sortons de la salle.
    Toutes les créatures ont disparu.
    Épreuve terminée, je suppose.
    Nous revenons devant le bigorneau.
    Il est affolé, la coupe a disparu.
    Mais c’est normal, elle était entre nos mains désormais.
    C’est donc ça que les illusionnistes ressentent après un tour ?
    Nous lui donnons la coupe et sortons de l’arbre.
    Et mauvaise nouvelle pour Arkhy : plus de harpies et encore moins de loot à la sortie.
    Je vais donc devoir encore plus lui remonter le moral.
    Yay.

    Nous sortons du marais et nous dirigeons vers la ville de l’arène.
    J’ai hâte de voir ces gladiateurs.
    Nous ferons une halte à Wyskm.
    Et, si je ne m’abuse, c’est la ville d’origine de la petite.
    Curieuse de ce qui a fait fuir cette petite citadine.
    En tout cas l’écuyer du bigorneau a préparé notre arrivé.
    À moins que ce ne soit un traître, ce qui serait assez télépathé, notre aventure devrait être terminée.
    Voilà.

    Si c’est Arkhy qui s’occupe de la partie suivante, je pourrai lui faire les tresses en même temps qu’il rédige.
    J’aime bien lui faire les tresses.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 7 mois par Technocats.
    Technocats
    Joueur/MJ
    Journal de bord de Kate,

    Après avoir essuyer une attaque d’orque contre le fort avec succès (et désolé les rageux, c’est moi qui ai achevé leur chef, il va falloir vous faire une raison), nous avons fait la rencontre d’Arthos, chef d’une escouade de soldats venus à notre rescousse afin de nous recruter pour une mission des plus importantes.

    En effet, notre chère reine est très malade, elle souffre d’une maladie incurable (la pauvre… quoi que, est ce que j’en ai quelque chose à faire ? Pas sûr) et seul un puissant artefact des plus mystérieux pourrait la sauver (voila qui est intéressant ! Faut que j’en apprenne plus à son sujet). Mais visiblement, on a pas trop le choix que d’y aller, Arthos a visiblement besoin de nous pour s’enfoncer dans les marais, laissant le fort à la protection de ses soldats.

    Et après une petite soirée à discuter avec notre nouvel employeur (qui semble visiblement me cacher quelque chose, sûrement rien d’important mais je finirais par le découvrir), nous voilà partit vers ce marais poisseux. Et effectivement, c’est pas l’endroit le plus agréable du monde, je me serais bien passé de venir. C’est tout boueux, brumeux, on voit pas où on met les pieds, bref l’horreur. Mais ça semble pas trop affecté mes compagnons elfes, plus le nain par contre.

    Nous arrivâmes devant un grand saule au pied duquel se reposait un homme mort. Ça sentait l’interlope mais le nain s’aventura sous ses branchages et finit par s’écrouler au sol en ronflant. Je compris aussitôt qu’il était victime d’un sort de sommeil sans en définir la provenance et n’écoutant que mon courage (oui parce que les deux autres semblaient tout aussi endormi malgré leur résistance naturelle) je m’élança pour le secourir jusqu’à succomber moi aussi (j’ai vraiment été nulle sur ce coup)

    Je finis par me réveiller grâce à mes camarades et après avoir regardé le contenu de la besace récupérée par Aegiess, nous reprîmes la route vers l’est. C’est à ce moment là que l’on croisa la route de la sorcière des marais. Arthos essaya de lui faire un vieux numéro de charme (faut vraiment que je lui donne des cours parce que… no coment), mais cela ne pris pas avec la sorcière (évidement !) qui finit par l’emmener avec lui au fond de l’eau (fait chier… va falloir aller le secourir maintenant !). Aussi, après nous être demandé ce qui venait de se passer, Ehrendil usa de sa magie pour se transformer en grenouille géante et partir à sa poursuite au fond de cette marre putride. Et aussi nous attendîmes, attendîmes… tant est si bien que nous finîmes par nous demander s’il n’était pas mort lui aussi, ou emporté par la sorcière, qui sait. Nous avions donc une décision à prendre : se lancer à la poursuite de notre ami ou l’abandonner à son sort. Qu’allait on choisir ? Bonne question… il faut que je réfléchisse à un plan.

    • Cette réponse a été modifiée le il y a 2 années et 7 mois par Technocats.
    Technocats
    Joueur/MJ
    je serais présent avec ma fille.
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